"Publiées dans le Journal of Neuroscience, des recherches conduites par le RIKEN Brain Science Institute apportent de nouveaux indices sur les mécanismes biologiques et moléculaires liés à la mémoire et à l'apprentissage.
Le cerveau est soumis à un flot d'informations qu'il traite et qu'il "archive" dans sa mémoire selon un système d'encodage sur lequel interviennent de nombreux facteurs entraînant des effets encore mal compris. Parmi eux, il existe "l'effet d'espacement" désignant une amélioration de l'assimilation et de la mémoire à long terme des êtres humains et des animaux lorsque l'information est répétée au cours d'intervalles de temps espacés. De nombreux scientifiques ont supposé que cet effet était lié au processus de consolidation de la mémoire mais les mécanismes sous-jacents restaient encore flous...
Le cerveau est soumis à un flot d'informations qu'il traite et qu'il "archive" dans sa mémoire selon un système d'encodage sur lequel interviennent de nombreux facteurs entraînant des effets encore mal compris. Parmi eux, il existe "l'effet d'espacement" désignant une amélioration de l'assimilation et de la mémoire à long terme des êtres humains et des animaux lorsque l'information est répétée au cours d'intervalles de temps espacés. De nombreux scientifiques ont supposé que cet effet était lié au processus de consolidation de la mémoire mais les mécanismes sous-jacents restaient encore flous...
Il s'agit des premiers travaux de recherche apportant une explication neurologique aux bienfaits des pauses entre des séances de travail et d'apprentissage." (extrait)
Si vous souhaitez lire l'expérience réalisée avec des souris, RV sur http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/67090.htm
Source photo : pauseworks.com
Si vous souhaitez lire l'expérience réalisée avec des souris, RV sur http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/67090.htm
Source photo : pauseworks.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire